Erreur, discussion, interview?

Les cours venaient tout juste de recommencer il y a très peu. Les vacances étaient maintenant finies à mon malheur. Non, c’est ce que diraient probablement les autres. Pour moi, c’était plutôt un soulagement. J’aime bien assister à mes cours. Ça me donnait quelque chose de sérieux à faire aussi. En même temps, ça me permet d’apprendre encore plus de chose, ce qui génial aussi. Apprendre plus pour finalement expérimenter encore plus. C’était ma vision des choses tout simplement. Je ne forcerai jamais quelqu’un à penser comme moi. Sinon le monde serait bien inintéressant… Je ne pourrai pas non plus écrire de nouveaux articles pour le journal étudiant. Justement, la fin du mois approche. Il faut que réussi à terminer pour qu’il puisse être disponible dès le mois de février.

Mais il me manquait encore des éléments à mettre. Mais cela ne devrait pas être bien long. J’espère. Et puis, je pourrai peut-être interviewer quelqu’un pour rajouter aussi un peu de contenu. Bon, il faudrait que je trouve quelqu’un en premier qui le veut bien. J’ai déjà celui avec Kanesaki-senpai… Mais bon. On verra si j’arrive à dénicher quelque chose d’ici là.

J’avais pris mon manteau dans ma chambre avant de quitter le bâtiment des dortoirs. Même si ce n’était pas loin du tout, il fallait quand même marcher jusqu’à l’école. J’avais aussi enfilé l’uniforme. Arrivé à l’intérieur de l’école, je me dirigeai déjà directement vers les casiers. Il fallait bien que je change mes souliers et que je prenne mes affaires pour les cours. J’ai aussi postulé pour être le vice-président du conseil des élèves. Je n’ai toujours pas eu de réponse à ce niveau. J’espère que ça ne tardera pas…

Mais lorsque j’arrivai justement à mon casier, je vis une jeune femme qui était déjà là. Mais quelque chose était étrange. Pourquoi elle essayait d’ouvrir mon casier? Bien sûr qu’elle n’y arrivera pas, mais quand même… Je me rapprochai donc d’elle un peu avec un léger sourire sur mon visage. Ce n’est pas parce que je suis ce que le monde appelle un intello que je ne sais pas sourire pour autant.

- Excusez-moi. Ceci est mon casier, donc si vous essayez de l’ouvrir, j’ai bien peur qu’il ne s’ouvrira jamais.

Pour Hinata la journée à commencer ainsi : Elle n’a pas trouvé immédiatement l’uniforme de l’école, elle s’est réveillé en retard, Elle a oubliée de prendre son argent pour pouvoir manger. Bref, c’est une mauvaise journée qui commence.
Elle fut pourtant motivée, souriante a préparé cette nouvelle journée de cours malgré qu’elle soit un peu isolée des autres, il faut dire que la jeune femme est loin d’être facile à aborder. Elle fait ce qu’elle souhaite, n’écoute jamais personne préférant vivre en toute liberté. La sensation de liberté est le meilleur sentiment qu’elle puisse éprouver, c’est comme quand vous faites le grand 8, vous avez cette sensation d’abandon et que tout peut arriver.

Hinata est parti en cours, sans avoir encore rencontré son locataire et elle n’a pas vraiment envie de rencontrer quiconque ou d’être amicale avec cette personne. Après tout, si cela ce trouve, elles ne s’entendront pas ? Hinata est parti dans cette ambiance dans les couloirs de l’école à la recherche de son casier… Quel est déjà le numéro de son casier ? Elle regarda tour à tour et finit par trouver le sien… Mais rien à faire ! Il ne s’ouvre pas. Elle à beau tirer, lui mettre un coup, rien à faire… Est-ce son casier ? A-t-elle fait une erreur ? Non…

"- Excusez-moi. Ceci est mon casier, donc si vous essayez de l’ouvrir, j’ai bien peur qu’il ne s’ouvrira jamais."Dit un jeune homme soudainement.

Elle se retourna et regarda le jeune homme aux cheveux d’argent. Se moquait-il d’elle ? Peut-être et cela l’agaça. Elle s’est donc trompée de casier, elle aurait dû rester dans son lit.

-Alors, on a cas échanger nos casier, tu prends le mien et je prends le tien. Dit-elle d’un air triomphant.

C’est plus facile que de trouver son casier, et celui-ci elle pourra le mémoriser. Après tout n’est-elle pas libre de prendre le casier qu’elle souhaite ? Ou n’agit-elle pas comme une enfant ? Qu’importe, elle va prendre ce casier… Mais s’il ne veut pas ? Lui aussi est libre de choisir son casier. Hinata fut prise d’un doute entre sa liberté ou celle du jeune homme qu’elle ne connait pas. Elle ne la jamais vue, mais elle ne fait pas attention habituellement aux autres donc qu'importe, car tout ce qui compte pour elle est d'obtenir le casier. De plus elle est têtue, elle est capable de tout lorsqu'elle veut quelque chose, et ce qu'elle veut ? Le casier.

Elle attendit sa réponse.

- Je n’ai pas trop envie de changer… De plus ça irait à l’encontre des règlements de l’école.

Oui, je n’avais aucune envie de lui céder et ce de n’importe quel manière que ce soit. Ce n’était pas de ma faute si elle ne connaissait pas le sien et encore moins si elle le confondait avec le mien. Ceci dit j’espère qu’elle ne la pas trop abimer… Ça serait bien le bout de tout… Et pourquoi elle prendrait la peine de prendre mon casier. Même si elle le veut elle ignore quand même la combinaison pour l’ouvrir.

- Ça serait bien plus simple que tu trouves ton propre casier et que laisse le mien bien tranquille à sa place. Je suis sûr qu’il n’apprécie pas trop d’être déranger.

Bon, je sais déjà que les casiers n’ont pas de sentiments, mais c’est juste une manière de parler… Tout ce que je voulais c’est qu’elle ne le défonce pas. Je n’ai rien à cacher, mais j’aimerais bien continuer à l’utiliser.

Je regardai l’heure un peu. L’heure filait déjà. J’avais tant de choses encore à faire et pourtant j’étais en face d’une personne qui me semble bien têtue et voulant pour je ne sais trop quelle raison, mon casier. Je suis sûr que mon casier n’a rien de plus que le sien. Non réellement… En fait j’ignorais vraiment qui qui se tenait en face de moi. Je ne l’ai jamais vu. Pourtant elle semble quand même être un peu plus vieille que moi. Bon, pas de chance, je fais donc face à un senpai… Malgré que je sois quand même qu’en première donc quasi tout le monde est plus vieux que moi. Bon, commençons donc par se présenter. Avec un peu de chance je connaitrais au moins son nom aussi et j’en saurai un peu plus sur elle.

- Au passage, je suis Misaki Saitou. Première année, club du journal étudiant et dortoir Kuro Kuma.

Puis j’attendais de voir si elle fera la même chose.

Il ne veut pas changer de casier… Il est libre lui aussi de changer de casier, donc elle ne peut pas être plus que têtu qu’elle ne l’est déjà pourtant elle n’a pas envie d’abandonner. Il faut une nouvelle idée, mais là maintenant elle aimerait ne plus se sentir en cage. Petit à petit plusieurs élèves circulent dans les couloirs, bientôt il y aura tellement de monde qu’elle se sentira étouffée. Riku aime être libre et l’école est loin d’être la liberté. Elle doit toujours obéir aux règlements de l’école, ne pas être en retard, ne pas courir ! Cela ressemble à un paradoxe tout de même de courir et de ne pas arriver en retard. Car, pour être à l’heure parfois il faut courir, non ? Hinata soupira et écouta le jeune homme lui parler de son casier qui n’apprécie guère d’être dérangé donc d'être frappé… Elle se retourna vers le casier et remarqua une légère bosse, elle a encore fait des siennes et hélas cette fois-ci elle ne pourra s’échapper. Elle resta devant le casier, camouflant la bosse qu’elle a faite à celui-ci, elle pourrait lui payer les frais de réparation, mais elle n’a pas son argent sur elle. De plus, en réfléchissant bien, elle ne peut prendre ce casier, elle doit retrouver le sien car il y a ses livres pour étudier. Bref, depuis le départ c’est une mauvaise idée, elle s’en rend compte. Mais comment s’en sortir sans perdre la face ?

Le temps qu’elle cherche une idée, le jeune homme se présenta à elle, Misaki Saitou, journal… Ok… Elle est tombée sur un journaliste. Il fait parti d’un club ? En y réfléchissant, elle ne fait parti d’aucun club, elle aide tous ceux qui lui demande son aide… Elle eu une idée, une brillante idée. Si elle l’aide pour son club, il oubliera certainement qu’elle a fait une bosse sur son casier… Mais avec des Si, on referait le monde.

-Je m’appel Riku Anazaka, je fais parti d’aucun club, je suis dans quel classe déjà… Bref, peu importe ! Dit-elle en se rappelant qu’après elle doit chercher sa classe.

Elle fit un grand soupire, puis elle prie une grande respiration tout en camouflant la légère bosse sur le casier.

-Je te rends ton casier, en échange si tu le souhaites je peux t’aider dans ton club si tu m’aide à chercher mon casier.

Elle resta contre le casier, ne voulant pas qu’il remarque la petite bosse, mais normalement personne ne l’aurait remarqué et peut-être que cela ne provient pas d’elle. Elle est du genre à être tellement têtu lorsqu’elle a une idée en tête qu’elle a tendance à oublié que parfois ce ne sont que des petites choses.

Elle se tenait toujours devant mon casier, silencieuse. Peu importe ce qu’elle fera, je ne lui cèderai certainement pas! Je ne sais pas ce qu’elle veut réellement, mais je ne la laisserais pas faire! C’était hors de question. Je la fixai. Elle semblait bien sauvage pour une jeune fille! Ça ne m’étonnerait même pas qu’elle fasse partie de ses animaux Aka Uma. Ils sont si sauvages! Mais bon, ils pouvaient bien foutre en l’air leur vie, ça ne me dérange pas plus qu’il ne le faut. Tant qu’ils se tiennent tranquilles… Bon, j’en étais où déjà?

Ah oui, j’attends donc toujours la réponse de cette chère voleuse de casier… Bien qu’elle ne pris pas trop de temps à répondre, ce fut quand même rapide. Donc Riku Anazaka. Je pris la peine de bien mémoriser ce nom. Et… Elle ne fait partie d’aucun club et elle ne sais même plus dans qu’elle classe elle est... Bon, je n’ai plus de doute, elle ne peut appartenir qu’à les Aka Uma.

- Euh… Merci pour le casier…

Je ne sais pas trop pourquoi je la remercie… En fait c’est surtout pour éviter le moindre problème avec elle. Elle reste malgré tout une Aka Uma. On ne peut jamais prévoir comment ils réagissent. Du moins, j’étais quand même bien soulagé de voir qu’elle laissait tomber l’idée du casier en fin de compte. Mais sa proposition m’allait très bien.

- C’est d’accord. J’accepte ce marché! J’aurai justement besoin un peu plus de contenu pour le journal! De plus, tu m’évites à devoir chercher quelqu’un par la même occasion!

Je lui esquissai un sourire par la même occasion. Parfois, malgré leur personnalité révoltante, ils savent faire de bonne proposition!

- Donc, ton numéro de case est lequel?

Riku Anazaka se rend de plus en plus compte qu’aujourd’hui est une mauvaise journée. Premièrement, elle demande de l’aide pour camoufler son erreur de casier, deuxièmement elle a proposé son aide, mais elle sait qu’elle est en faute. Elle sait que c’est de sa faute si elle a fait une bosse, si elle s’est trompée de casier. C’est une des raisons pour les quels elle veut l’aider, elle veut rembourser sa dette, mais comme il ne s’est pas rendu compte qu’elle a fait une bosse, il fallait qu’elle trouve une autre raison pour l’aider. La seule chose qu’elle a trouvée et un compromis entre l’aide pour son club et la recherche de son casier. Tout revient au casier.
Elle réfléchit pendant quelques minutes, elle ne se souvient pas du numéro de son casier, mais elle avait noté quelque part… Où ? Elle avait tout noté, sa classe, son numéro de casier… Elle chercha dans ses poches, mais rien, aucun papier. Puis elle se rappela.
Elle se souvenue petit à petit de ce qu’elle avait fait, on lui avait tout dit au téléphone et n’ayant pas de feuille, elle avait tout noté sur son bras… Elle retroussa la manche de son uniforme et trouva la note. Elle en ria jaune. Vraiment, c’est une mauvaise journée pour elle.

-12, le numéro est 12. Dit-elle agacée. Lorsque tu auras trouvé mon casier, tu m’expliqueras en quoi je peux t’aider, mais sache le, je t’aide parce que tu m’as aidé. Ensuite je ne te devrais plus rien. Dit-elle avec un grand sourire.

Elle s’éloigna du casier tout en priant qu’il ne remarque jamais cette petite bosse insignifiante. Elle s’approcha du jeune homme et regarda de gauche à droit. C’est vers où le numéro 12 ? Dans ses souvenirs sont casier doit être tout prêt, mais elle ne se souvient pas où exactement. De plus, il y a trop de casier, trop de monde. Le couloir commence à se remplir, les étudiants se bouscule certain n’ont aucun respect et ne s’excuse même pas. Elle n’aime pas ça, de toute façon peu de personne risque de la confronter, les seuls qui en sont capables sont peut-être les membres de son propre dortoir, les Aka Uma. Elle doit dire qu’elle n’en a encore rencontré aucun, mais les rumeurs ne sont pas très bonnes. De toute façon, elle en fait parti et cela ne la dérange pas au contraire. Elle se souvient maintenant quel genre de personne est le dortoir dont fait parti Misaki, des individus complètements différent d’elle. Ils sont les parfaits petits élèves de l’école, des étudiants qui aime l’école. Pourquoi doit-elle aider ce genre d’individus ?
Peut être parce que je suis mise toute seule dans cette situation. Pense-t-elle.

-Je ne savais pas qu’il y a un journal dans cette école. Qu’est ce que vous y écrivez ? Demande-t-elle en baillant. C’est juste pour savoir dans quoi j’aide. Dit-elle en regardant le ciel à travers la fenêtre.

Elle a envie de partir, elle veut partir loin et s’amuser a l’extérieure. En plus, aujourd’hui, ils sont prévus un temps magnifique.

Plus que je passais de temps avec celle-là et plus elle me désespérait… Sur qui étais-je donc tombé bon sens?! Elle tardait de me donner le numéro de son casier et je me doutais bien qu’elle ignorait seulement c’était quoi! Ça expliquerait bien le pourquoi du comment elle s’est retrouvée en face du mien… Mais bon, même si elle n’était pas doté d’intelligence à se rappeler les chiffres… Non, laissons tomber. Je la laissais seulement fouiller encore et encore dans ses affaires. Par contre, je n’avais pas toute la journée à passer ici. Heureusement pour elle que j’avais besoin d’informations supplémentaire sinon je l’aurai déjà laissé en plan!

- Ne t’en fais pas! Je ne pense pas te demander de l’aide à l’avenir! Mais de toute manière, puisque tu n’appartiens à aucun club, tu es quand même dans l’obligation d’aider les autres! Donc tu devras quand même m’aider malgré tout!

Puis je lui rendis ce même sourire qu’elle m’avait fait. Elle voulait jouer les plus malignes alors qu’en réalité elle était dans une posture plutôt délicate! On voit bien là le caractère de son dortoir. Heureusement pour moi, ça ne marchait pas! Peut-être sur ses idiots d’Ao Ryuu ça marcherait. Surtout leur chef, il semblait plutôt être bien naïf, mais il restait quand même quelqu’un de bien. Par contre, eux tout ce qui comptait étaient de bouger tout simplement. Aucun intérêt vraiment. Ce n’est pas comme si nos dortoirs respectifs s’aimaient déjà en partant. On peut même dire qu’on est les deux dortoirs qui s’aiment réellement le moins. Il semble aussi qu’il y est juste les deux chefs qui arrivent à s’entendre… Mais bon. Malgré que le cas avec les Aka Uma non plus n’était pas très bon.

Mais brève de réflexion. Je devais maintenant trouver le casier qui porte le numéro douze pour qu’elle m’aide au plus vite! Et plus vite qu’elle aura répondu à mes questions pour le journal et plus vite que je pourrai m’en débarrasser! Par contre je me demande bien à quoi elle peut bien penser pour être incapable de trouver son propre casier… Sachant que mon casier porte le numéro trente, le sien ne devrait pas être trop loin!

- Eh oui, il y en a un. Peut-être serait-ce le temps d’ouvrir un peu plus ton niveau intellectuel. Sinon ce qu’il y a dedans, eh bien, tout pleins de choses diverses! Des rumeurs ou bien encore des entrevus avec quelques élèves. Dans un certain sens j’ai bien une chance d’avoir tombé sur toi finalement. Je pense bien que ça sera la première fois que je tombe sur une Aka Uma qui veut bien y participer! Et ça sera bien simple, ne t’inquiète pas. Tu n’auras qu’à répondre à quelques-unes de mes questions tout simplement.

Puis je partis à la recherche de son casier finalement. Ce ne fut pas très long avant que je tombe dessus. Par très loin du mien, il était juste un peu plus part la gauche.

- Bon voilà.

Elle ne s’entend avec personne et celui-là elle doit admettre que cela ressemble à une relation de rivalité ? Non, de haine ? Non, plutôt de non-compréhension. Lorsqu’on ne ce comprend pas, lorsque les deux personnes sont totalement en opposés, il est normal de ne pas s’entendre, mais Riku a tendance à ne s’entendre avec personne. Pourtant ce n’est pas faute d’avoir essayer une fois. Elle sait, maintenant qu’elle ne pourra jamais être « ami » avec des personnes du dortoir du jeune homme. Impossible, si cela ne finit pas en bataille de mot elle finira par exploser. Pend l’instant, il est préférable de penser au présent et non au futur de cette conversation, car juste de penser aux événements prochain, RIKU risque fort de finir par se mettre dans un état dont elle-même ignore.
Elle doit reconnaître qu’il n’a pas tord, RIKU à dans l’obligation d’aider les clubs et ce fût comme si il a un moyen de pression sur elle. La colère monta. Elle se fit une remarque en elle-même dans cette situation : Nous sommes comme chien et chat dans la même maison, obliger de côtoyer les mêmes couloirs.

-Je ne le fais pas parce que je suis obligé de t’aider, mais parce que je veux t’aider. Dit-elle franchement.

Elle ne le fait pas dans l’obligation, elle le fait parce qu’elle en a envie ou parce que aussi elle a fait une bosse sur le casier. Mais à présent, elle le fait pour l’aider parce qu’elle est ainsi. Elle est peut-être une fille qui aime la liberté, qui n’aime pas étudier ou qui n’aime pas les lois sans queue ni tête, mais elle aime aider les plus faible ou ceux qui lui demande de l’aide. Mais, maintenant, elle regrette de l’avoir dit et de l’avoir pensée. Cet homme n’a pas besoin d’aide et encore moins de la sienne. Il veut la provoquer ? Il a réussi surtout lorsqu’il a traita à sa façon. Elle n’est pas bête au point de ne pas comprendre les insultes.

-Tu pose des questions aux étudiants en pensant qu’ils te diront la vérité, tu écris de simple rumeur. Est-ce que tu cherche au moins la vérité dans les paroles des personnes que tu interroge ? Si je te dis que je suis une fille sage et pleine de dévouement pour les études, me croiras-tu ? Non. Dit-elle agacée.  

Il lui montra son casier, tout proche du sien, maintenant elle se souvient. Elle doit admettre qu’elle n’a jamais était bonne pour la mémorisation des chiffres, sauf quand cela l’intéresse comme tout le reste. Elle ouvrit son casier avec le code qu’elle avait choisi, la date de naissance de sa mère. Puis il s’ouvrit, elle fit un grand sourire remarquant que tout est bien ranger, tout est en ordre. Riku a dû être ainsi, ne pas être bordélique, car après tout elle devait s’occuper de sa mère et de sa sœur. Elle prit un livre, puis elle se tourna vers le jeune homme avant de fermer son casier.

-Maintenant, j’attends si tu le souhaite tu peux me poser toutes les questions que tu veux, je répondrais à tout. Dit-elle joyeuse.

Après les questions elle pourra enfin partir à l’extérieur.